S’il y a moins de circulation la nuit, il y a toutefois plus de dangers : la nuit représente moins de 10 % du trafic routier, mais 44 % des tués et 34 % des blessés hospitalisés. Les risques à la tombée de la nuit sont plus importants. Des règles particulières doivent être appliquées, respectons-les ! Les études montrent que 90 % des informations nécessaires à la conduite passent par la vue. Mais dès que la nuit tombe, l’acuité visuelle diminue. Les distances et la vitesse des autres véhicules deviennent alors difficile à évaluer. Le manque d’éclairage sur le bord des routes rend également les piétons peu visibles. L’éblouissement est un autre facteur de risque. D’après une étude menée par l’association Prévention Routière en 2014, un automobiliste sur deux déclare être gêné lorsqu’il conduit la nuit, principalement en raison de l’éblouissement produit par les autres véhicules.
Sur route ou en ville, lorsqu’il fait nuit, redoublez de vigilance !
Source :
La conduite de nuit, notamment pour les longs trajets, est souvent monotone, avec un sentiment d’ennui et un relâchement de l’attention. Si le temps vous le permet, ouvrez la vitre et aérez le véhicule, l’air frais vous aidera à vous réveiller. Si vous n’avez pas de passager à qui parler, écoutez la radio pour rester concentré.