Ce quiz permet de tester vos connaissances sur le gaspillage alimentaire. Il comporte 6 affirmations que vous pouvez juger par VRAI ou FAUX.
1. La journée nationale contre le gaspillage alimentaire se tient le 16 octobre
En 2016, la campagne été axée sur les contes de notre enfance, à travers des versions détournées.Par exemple, « A minuit le potiron de Cendrillon fera un bon bouillon » d’où… « Apprenez à cuisiner les restes ».
2. Le slogan de la campagne est : « jetez moins, mangez moins »
C’est « jetez moins, mangez mieux ». On cherche à sensibiliser les consommateurs sur la quantité d’aliments jetés afin d’améliorer notre consommation.
3. On estime que chaque français jette l’équivalent de 10kg de nourriture par an
C’est 20kg par an et par habitant, dont 7 kg de nourriture encore emballée ! Ce gâchis a un coût : il est estimé à minimum 400 euros par an et par foyer. Les 13 kg restants seraient des fruits et légumes abimés, des restes de tables (repas trop copieux et restes non utilisés ?) et des produits non consommés.
4. La moitié des déchets alimentaires seraient des fruits et des légumes
Je vous propose donc des solutions : – achetez moins : préparer les menus à l’avance permet d’acheter les quantités justes et nécessaires qui seront forcément utilisées ; – calculez des portions adaptées : 3 fruits par jour et par personne, 150g de légumes par personne et par repas ; – cuisinez les fruits et légumes qui s’abiment : fruits en compote ou cuits au four, salade de fruits frais, légumes en purées, en poêlée, en gratin etc.
5. Les animaux des zoos aident à lutter contre le gaspillage alimentaire
Le zoo de Beauval privilégie les approvisionnements locaux en fruits et légumes, des produits non calibrés pour la grande distribution. Il faut environ 5 tonnes de fruits et légumes par jours pour nourrir les animaux du zoo. Environ 80% sont de production locale et ne trouvent pas place dans les étals de la grande distribution pour des raisons esthétiques.
6. Manger des « légumes moches » est mauvais pour la santé
Les légumes ou les fruits « moches » ont les mêmes apports nutritionnels que la version « top model » mais les prix sont très différents : les produits les moins jolis peuvent coûter jusqu’à 30% de moins. On peut donc manger mieux pour moins cher.